« Les blessures restent ouvertes après 50 ans de dictature », constate Cristina Gonzalez-Vega. Née au Chili, artiste peintre et assistante sociale, elle a fuit le pouvoir militaire du général Pinochet, après le coup d’état de 1973 qui a vu renverser et mourir le président démocratiquement élu Salvador Allende. Arrivée en France au début des années 80, elle a mené une vie de combats pour lutter contre toute forme d’injustice.
Ses peintures ont pour point commun d’exprimer un fait de société : la douleur, le cri, la liberté, la résistance, les émotions, la discrimination. Toutes sont enrobées de couleurs vives et vibrantes.
Du lundi 11 septembre au samedi 23 septembre, dans le hall du Pôle culturel Michel-Legrand. Tout public. Entrée libre.